L’existence des vampires n’est plus un secret pour personne. Alors que le tout Hollywood les décrit comme les amants du siècle, notre bon vieux gouvernement des Etats-Unis a tranché. Chaque rejeton aux dents longues se verra proposer un choix : se référencer auprès des autorités et survivre comme un animal en cage ou rester libre et se faire traquer par des chasseurs de primes rémunérés par l’état. Perso, je préfère la deuxième solution. C’est beaucoup plus lucratif pour mes finances depuis que j’ai hérité de l’entreprise familiale. Le problème, c’est qu’à 17 ans, je suis encore enchainée au lycée et je dois concilier cours de math et exécutions sommaires. D’aucuns diront que j’ai la fâcheuse tendance à ramener plus de boulot au bahut que je ne rapporte de devoirs à la maison. C'est pas faux.
Alors voyez-vous, quand on doit gérer tous ces vampires attirés par le miasme hormonal émanant de mon école et qu'en plus, on s'appelle Elvira, la vie n’est pas simple.
Une ado qui se plaint de son calvaire quotidien ? Rien de neuf à l’horizon, me direz-vous. Mais croyez-moi, je sais garder les pieds sur terre. Ma vie aurait pu être bien pire : j’aurais pu être un de ces monstres et me retrouver du mauvais côté de mon pieu.
Alors voyez-vous, quand on doit gérer tous ces vampires attirés par le miasme hormonal émanant de mon école et qu'en plus, on s'appelle Elvira, la vie n’est pas simple.
Une ado qui se plaint de son calvaire quotidien ? Rien de neuf à l’horizon, me direz-vous. Mais croyez-moi, je sais garder les pieds sur terre. Ma vie aurait pu être bien pire : j’aurais pu être un de ces monstres et me retrouver du mauvais côté de mon pieu.
Je dois dire que la préface m’avait vendu du rêve. Tournée de façon drôle et qui a su capter mon intérêt, je m’étais imaginée adorée ma lecture. Malheureusement, je n’ai pas autant apprécié que ce que je l’aurais voulu. D’après moi, ce qui fait la force du livre, ce sont l’humour noir très présent mais surtout, c’est son personnage principal : Elvira.
C’est une jeune punkette de 17 ans, assez badass sur les bords avec un humour très tranchant. Elle a repris le métier de son défunt père : chasseuse de vampire. Ici, nous sommes loin des clichés habituels, point d’héroïnes qui tombent amoureuse d’un romantique vampire ou de boules à facettes qui brillent au soleil. Elvira est sans pitié envers les suceurs de sang, elle préfère enfoncer un pieu bien pointu dans leur cœur, plutôt que de s’attarder à faire la causette avec eux. Ce qui aurait pu grandement faciliter le problème dans lequel elle est plongée si elle posait les questions avant de les tuer.
J’ai beaucoup aimé les deux compagnons d’Elvira, Ludwing et Belinda. Ils apportent un vrai plus à l’histoire et se révèlent particulièrement intéressant au fil des pages. Entre les compétences en informatique de Ludwing et Belinda qui est très forte pour changer d’apparence grâce à ses déguisements, nous ne sommes pas au bout de nos surprises avec ces deux la. J’ai un peu moins apprécié Jeri, je ne comprends pas tout à fait son rôle et ce qu’il peut réellement apporter à l’histoire mais je pense que tout n’a pas été dévoilé, surtout en ce qui concerne sa mort.
Quant à l’histoire, je n’ai pas été spécialement embarquée dedans. J’ai trouvé qu’on effleurait la surface sans trop creuser l’intrigue et que les évènements arrivaient bien trop rapidement. Par contre, j’ai beaucoup apprécié l’atmosphère que dégage le récit : humour noir sous fond de comics avec quelques illustrations qui accompagnent le roman, le tout ponctué de références qui vont ravir les plus geek d’entre nous.
En bref, un premier tome intéressant porté par une héroïne charismatique qui n’a pas froid aux yeux, à l’humour noir et aux pieux affutés. Des compagnons d’aventures rafraichissants mais une intrigue peu poussée qui me laisse un arrière gout mitigé pour ce début d’histoire. Je ne regrette pas d’avoir lu ce roman qui m’a permis de découvrir la plume entrainante de l’auteur que je découvrirai volontiers dans ses autres romans.
C’est une jeune punkette de 17 ans, assez badass sur les bords avec un humour très tranchant. Elle a repris le métier de son défunt père : chasseuse de vampire. Ici, nous sommes loin des clichés habituels, point d’héroïnes qui tombent amoureuse d’un romantique vampire ou de boules à facettes qui brillent au soleil. Elvira est sans pitié envers les suceurs de sang, elle préfère enfoncer un pieu bien pointu dans leur cœur, plutôt que de s’attarder à faire la causette avec eux. Ce qui aurait pu grandement faciliter le problème dans lequel elle est plongée si elle posait les questions avant de les tuer.
J’ai beaucoup aimé les deux compagnons d’Elvira, Ludwing et Belinda. Ils apportent un vrai plus à l’histoire et se révèlent particulièrement intéressant au fil des pages. Entre les compétences en informatique de Ludwing et Belinda qui est très forte pour changer d’apparence grâce à ses déguisements, nous ne sommes pas au bout de nos surprises avec ces deux la. J’ai un peu moins apprécié Jeri, je ne comprends pas tout à fait son rôle et ce qu’il peut réellement apporter à l’histoire mais je pense que tout n’a pas été dévoilé, surtout en ce qui concerne sa mort.
Quant à l’histoire, je n’ai pas été spécialement embarquée dedans. J’ai trouvé qu’on effleurait la surface sans trop creuser l’intrigue et que les évènements arrivaient bien trop rapidement. Par contre, j’ai beaucoup apprécié l’atmosphère que dégage le récit : humour noir sous fond de comics avec quelques illustrations qui accompagnent le roman, le tout ponctué de références qui vont ravir les plus geek d’entre nous.
En bref, un premier tome intéressant porté par une héroïne charismatique qui n’a pas froid aux yeux, à l’humour noir et aux pieux affutés. Des compagnons d’aventures rafraichissants mais une intrigue peu poussée qui me laisse un arrière gout mitigé pour ce début d’histoire. Je ne regrette pas d’avoir lu ce roman qui m’a permis de découvrir la plume entrainante de l’auteur que je découvrirai volontiers dans ses autres romans.